Franchevaux.

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J’avais écris sur le blog de BEUGNON

le 18/01/2006

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CELA FAIT FORT LONGTEMPS

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Beugnon relevait de l’archevêché de Sens.

Pernelle de CHACENAY comtesse de Bar sur Seine,

y établit en 1159 le monastère de Moniales (cisterciens)

de Notre Dame de Franchevaux rattaché à

l’abbaye de Jully. Cet établissement disparu

Au 14^ème et 15^ème siècle,  se situait aux Drillons

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Le village de BEUGNON simple annexe de

Soumaintrain, fut érigé en paroisse en 1645.

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Dédé BAZILLE

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Du nouveau oui !

Véronique MANNEVEAU et Jean-Louis DANDIN des résidents

de BEUGNON s’en occupent très sérieusement.

Toutes les personnes qui peuvent les aider dans leurs recherches seront

 les  bienvenues. Merci d’avance de les contacter en perso,

à défaut, je peu leur transmettre.

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 Ils recherchent des renseignements sur :

 Tous les CHACENAY

 Du prieuré Franchevaux

 De RAHIER Vicomte de St Florentin

 De la noblesse environnante de Beugnon

 Des templiers de cette époque.

 De l’église de Beugnon

 Famille des Essarts seigneur de Sautour (Neuvy)

 De Mile d’HERVI (Ervy le Châtel)

 Toutes infos qui à un rapprochement avec Franchevaux

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De  Saint Robert de MOLESME

Cela nous rapproche de l’Aube ce dernier est né à Troyes.

Sa statue à été récupéré à Franchevaux et figure

dans l’église de Notre Dame de Beugnon.

.ETC ….

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 Photo Internet, faire un clic pour l'agrandir

La statue dans l'église de Beugnon

 de Saint Robert de Molesme

 Voici les premières nouvelles infos.

 La comtesse de BAR (sur Seine) Peronelle était le diminutif de son prénom.

L’officiel était Pétronille Elisabeth

 Sa généalogie sera affiché prochainement

sur le blog

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 De véronique MANNEVEAU

Extrait du cartulaire du prieuré de Jully les Nonnains : le 6 juillet 1159, Hugues,

archevêque de Sens, raconte qu'il a reçu dans un lieu de son diocèse appelé

Froidmanteau, des vierges du monastère de Jully, envoyées par GUILENC, abbé de Molesmes,

à la prière de Pétronille, comtesse de Bar. Il déclare que,

sous peine d'anathème, ce lieu sera appelé à l'avenir Franchevaux. Les

religieuses ont été reçues par les plus grands personnages du pays, qui y

avaient des possessions ou sans doute des religieuses de leur famille :

Rahier, vicomte de Saint-Florentin ; le comte Henri de Troyes) ;

Guillaume de Nevers et son fils, comte de Tonnerre ; Mile d'Hervi

(Ervy-le-Châtel) ; Anséric II de Montréal ; Mile de Noyers ; Pétronille de

Bar, fondatrice de ce nouveau monastère (qui y avait amené

les religieuses) avec ses enfants : Manassès, Thibaud, Hemensanne.

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De Isembardus de Bunione

Le village de Beugnon s'apellait à cette époque 

BUNIONE

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